Gestion des risques pour les organismes de bienfaisance

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Cet article sur le risque d’investissement pour les organisations caritatives fait partie d’une série sur la gestion des fonds pour les organisations à but non lucratif. Poursuivez la lecture pour en savoir plus sur les dix principaux risques liés aux dons auxquels sont confrontés les organismes axés sur la mission qui détectent et gèrent les risques pour les organismes sans but lucratif. J’encourage les organismes sans but lucratif et les organismes de bienfaisance canadiens à penser à la réduction des risques en adoptant progressivement des idées de gestion des risques. Toutes ces idées ne sont pas forcément pertinentes pour toutes les organisations, mais cet article en souligne quelques-unes. Sources : 4, 9, 13]

Pour les organismes de bienfaisance, le registre des risques est un outil important à la disposition des administrateurs et de la direction, qu’ils peuvent comprendre. Tout organisme de bienfaisance ou direction doit examiner ses registres des risques pour vérifier que la gestion de ces registres est à jour. Cela peut inclure l’examen des risques et le travail de développement et d’amélioration des outils de gestion des risques de l’organisation, tels que l’évaluation des risques, le suivi des risques et l’analyse des risques. Sources : 12,8,12]

Le registre des risques permet aux organisations d’identifier plus facilement les principaux risques et d’atténuer ceux qui font obstacle à la réalisation de leurs objectifs. La gestion des risques est cruciale car elle aide les organismes sans but lucratif à comprendre les menaces et les opportunités auxquelles ils sont confrontés, puis à établir des priorités. Le processus de gestion des risques doit être adapté aux circonstances de chaque organisme de bienfaisance et se concentrer sur l’identification des risques auxquels l’organisme est exposé et sur la façon de les atténuer. Réfléchissez aux moyens de gérer les risques et établissez un calendrier pour traiter les différents types de risques. Sources : 1,2,12,13]

Les approches linéaires et implicites de la gestion des risques prennent en compte les besoins de l’organisation, et pas seulement le risque d’un seul risque. Sources : 8]

Un exercice distinct doit être mené, mais l’équipe et les activités doivent se concentrer sur une planification efficace de la gestion des risques. Une bonne gestion des risques encouragera les administrateurs à considérer l’impact de leurs décisions sur l’organisation dans son ensemble, et pas seulement le risque d’un seul risque. La gestion des risques peut être considérée comme une partie intégrante de la capacité d’une organisation à se gérer efficacement, et on peut y former les responsables et les employés, ainsi que les employés au sein des équipes dans leurs activités. [Sources : 12,3,8]

Une bonne gestion des risques repose généralement sur une analyse des risques émergents et sur un registre et une gestion des risques documentés. Les organismes sans but lucratif doivent établir des listes de priorités pour évaluer les risques identifiés et les résumer dans une liste hiérarchisée de menaces et d’opportunités qui décrit ce que l’organisme considère comme un risque donné, les réponses qu’il doit appliquer et le moment où il doit mettre en œuvre ses actions. Le conseil d’administration et la direction d’un organisme de bienfaisance doivent repenser leur goût du risque et prendre des décisions en fonction du risque perçu et de ce qui est considéré comme un risque acceptable. Le risque auquel l’organisation et ses priorités sont exposées, la responsabilité que les propriétaires de l’organisation doivent assumer et les risques auxquels elle est exposée, et l’impact de ces risques sur ses priorités. [Sources : 8,12,0,11]

Il existe une politique volontaire de gestion des risques qui définit des procédures et des lignes directrices pour la réduction des risques, comme le Plan de gestion des risques des volontaires (VPR). Sources : 13]

Certains organismes évaluent leurs véritables priorités en fixant les risques, mais d « autres soutiennent que la gestion des risques n « est pas une priorité. Par exemple, certains organismes de bienfaisance ont commencé à dresser la liste de leurs risques stratégiques à l « ordre du jour des réunions de leurs fiduciaires, afin de les rappeler pendant la réunion et de se concentrer sur la gestion des risques. Les administrateurs tiennent compte des risques liés à leur situation et à leur lieu de travail, et les organismes de bienfaisance travaillant avec des enfants et des adultes vulnérables sont susceptibles de rechercher des risques liés aux mesures de protection. L’une des principales raisons pour lesquelles de nombreux organismes sans but lucratif ne se protègent pas contre les risques est qu’ils n’ont pas les moyens ou les ressources pour le faire. [Sources : 5,12,11,2]

Selon une étude récente du Center for Risk Management de l’Université de Californie, Berkeley, les programmes de gestion des risques sont rentables, surtout lorsqu’ils sont axés sur la viabilité. Sources : 11]

La façon la plus courante de relancer le processus est sans doute de créer un brain map pour identifier les plus grands risques auxquels l’organisme caritatif est confronté. Dans cet article, deux approches seront examinées pour aider les administrateurs à identifier les risques pertinents pour leur organisme de bienfaisance, et à déterminer s’ils doivent être classés comme un risque stratégique majeur ou moins grave. Sources : 0,12]

Les organismes caritatifs peuvent différer par la taille et la portée de leurs activités, mais ils auront eux aussi besoin de stratégies de gestion des risques. Les mêmes stratégies d’atténuation des risques seront utilisées par les organismes de bienfaisance de toutes tailles et de tous profils, qu’ils soient petits, moyens, grands, petits ou grands. Elles ne seront peut-être pas les mêmes pour les petites organisations qui manquent de ressources, mais elles peuvent toutes avoir un impact significatif sur leur capacité à répondre aux domaines de risques définis, y compris les risques financiers, opérationnels et stratégiques, ainsi que les risques financiers et opérationnels pour l’organisation. [Sources : 7,7,10,13]

Une meilleure approche serait d’avoir une compréhension claire de ce que devraient être les « politiques de risque » des organismes de bienfaisance et de la façon dont elles s’intègrent dans l’organisation plus large. Sources : 6]

Sources :

[0] : https://www.helensheadlines.net/charity-risk-management
[1] : https://www.thirdsector.co.uk/create-strong-risk-register/article/1581966
[2] : https://nonprofithub.org/resources/a-nonprofits-guide-to-risk-management/
[3] : https://www.charityfinancials.com/insights/insider/how-can-charities-assure-their-risks-are-properly-managed
[4] : https://knowledge.insead.edu/blog/insead-blog/charities-and-the-investment-risks-they-face-10311
[5] : https://www.charitygovernancecode.org/en/4-decision-making
[6] : https://www.theguardian.com/voluntary-sector-network/2016/sep/01/the-five-major-risks-all-charity-board-members-need-to-think-about
[7] : https://www.grantthornton.co.uk/insights/the-top-10-risks-facing-the-charity-sector-in-2021/
[8] : https://www.crowe.com/uk/croweuk/insights/charities-risk-management
[9] : https://nonprofitrisk.org/resources/articles/top-10-fundraising-risks-for-nonprofits/
[10] : https://www.brunel-insurance.co.uk/risk-management-for-the-charity-sector/
[11] : https://ssir.org/articles/entry/a_call_for_nonprofit_risk_management
[12] : https://www.pricebailey.co.uk/blog/risk-management-with-an-effective-risk-register/
[13] : https://charityvillage.com/volunteers_and_risk_management_for_canadian_nonprofits_and_charities/